22 février 2007
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Feutrine
22 février 2007
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Geb est le dieu égyptien de la terre. Il est le fils de Shou et de Tefnout. Il est également le frère et époux de la déesse du ciel Nout. De cette union, ils eurent deux fils, Osiris et Seth, et deux filles, Isis et Nephtys…
Il fait partie des membres de la grande Ennéade d'Héliopolis.
Il était généralement représenté allongé sur le dos, portant parfois la couronne de la Basse Egypte. Dans ses représentations, on le trouvait en compagnie de Nout, la déesse du ciel. Sa peau est verte ou noire. Il apparaît souvent sur les sarcophages avec Nout tandis que le dieu de l’air, Shou, vient interrompre leur étreinte.
Son animal sacré ainsi que le symbole de son hiéroglyphe est l'oie.
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Egypte
19 février 2007
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Enfin, il est là ... brodé et terminé sur ma toile !
Quoique samedi, vu le soleil et les températures, on y aurait cru !
Les cuicuis étaient de sortie ! Quel délice de les entendre chanter !!
L'aventure printannière se termine ... Alexa nous laisser souffler jusqu'en avril pour reprendre ensuite le SAL avec l'été !
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Broderie
14 février 2007
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Le Fayoum est l'un des gouvernorats de l’Egypte située dans le centre du pays. Sa capitale est la ville de Médinet el-Fayoum. Elle est située à 130 kilomètres au sud-ouest du Caire.
Le Fayoum proprement dit est une oasis du désert de Libye couvrant 1 270 km². Ses champs sont arrosés par un canal venant du Nil, Bahr Youssef. L'eau s'écoule dans une dépression du désert à l'ouest de la vallée du Nil, le lac Fayoum, grand lac d'eau douce dans l'antiquité, mais de nos jours devenu de dimension plus modeste et dont l'eau est salée. Grâce au Bahr Youssef, le Fayoum est une riche région agricole réputée pour ses productions de figues, raisin et olives.
Différente des autres oasis, la terre cultivée dans le Fayoum est constituée de la boue du Nil charriée par le Bahr Youssef. De ce canal de 24 kilomètres de long, à l'entrée de l'espace dans les collines à Medina, plusieurs canaux s'embranchent irriguant la province ; l'eau de drainage coulant dans le Birket Qéroûn. Ce lac abonde en poissons notamment la carpe du Nil. Il se situe à 43 m sous le niveau de la mer. C’est la partie la plus basse de la province. Le sud-ouest du Fayoum,est la dépression de Gharak. A l’ouest de celle-ci une autre entièrement stérile, le Wadi Rayan, couvre 725 km². La région entière est sous le niveau de la mer, et, excepté l'espace mentionné, elle est encerclée par les collines libyennes.
Cette région, à l'évidence la plus ancienne région agricole en Égypte, était un centre d'activité royale pendant le Moyen Empire et de la période ptolémaïque. Le Fayoum était un des principaux greniers à blé du monde antique. Il y a également, particulièrement dans le voisinage du lac, beaucoup de ruines de villages et de villes antiques.
Au cours des trois premiers siècles de l'ère chrétienne, les habitants du Fayoum et d'ailleurs en Égypte romaine non seulement embaumaient leurs morts mais plaçaient également un portrait des défunts au-dessus du visage de la momie. Préservés par l'environnement sec du désert, ces « portraits du Fayoum » composent le plus riche patrimoine de portraits qui ait survécu de l'Antiquité. Ils nous fournissent une vision d'une société remarquable des peuples d'origines mélangées : les Grecs, les Égyptiens, les Romains, les Syriens, les Libyens et d'autres qui se sont épanouies il y a 2 000 ans dans le Fayoum.
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Egypte
13 février 2007
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Broderie
11 février 2007
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Les cheveux des femmes, qui étaient souvent portés très long, faisaient l'objet des plus grandes attentions. Dans les riches maisons des coiffeuses frictionnaient soigneusement les cheveux de leurs maîtresses avec de l'huile aromatique censée fortifier et assouplir la chevelure. Elles les lissaient ensuite avec des peignes d'ivoire puis les divisaient en de multiples tresses. Le tout étant ensuite orné d’un diadème.
Les hommes, en particulier, portaient la perruque. La confection d'une perruque d'apparat demandait une dextérité et un savoir-faire que ne possédaient que de rares spécialistes. Eux seuls connaissaient les nouvelles tendances de la cour du Pharaon. Les perruques étaient confectionnées à partir de vrai cheveux, parfois mélangés à des fibres végétales. Les plus pauvres se contentaient de laine. Les hommes avaient l'habitude de se raser entièrement le crâne. D'autres portaient les cheveux plaqués vers l'arrière laissant les oreilles dégagées. Certains les gardaient court arborant une coupe ronde donnant l'impression d'un bonnet.
(Nous tenons l’ancêtre de la coupe au bol ! … )
Les coiffeurs allaient de maison en maison. Ils ramollissaient le cuir chevelu et la barbe à l'aide d'un onguent passé en massage. La coupe était effectuée à l’aide d’un rasoir de bronze bien aiguisé. Le coiffeur massait ensuite la peau avec une préparation à base d'huile d'amendes amères pour calmer le feu du rasoir. Les soins capillaires, nombreux et variés font appel à des pommades et des lotions sensées préserver le brillant et le tonus du cuir chevelu. Le henné était déjà connu et utilisé, ainsi que des teintures pour suivre la mode ou lutter contre le vieillissement. Les Egyptiens utilisaient des préparations pour lutter contre la calvitie.
Les enfants, garçons ou filles, portaient pour toute coiffure une natte unique tombant sur le coté de la tête. Le reste du crâne était rasé. La coupure de cette natte à l'adolescence symbolisait la fin de l'enfance et le passage à l'age adulte.
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Egypte
6 février 2007
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Voilà les filles, je vous présente mon 2 ème coeur en patchwork !
Malheureusement, celui-ci n'est jamais arrivé à destination ...
Encore !! Et oui ... c'est le dernier ... vous avez vu les 4 !
Dorénavant, je ne vous saôulerai plus avec ça ...
Je vous ferai signe lorsque j'aurai eu gain de cause auprès de la poste !
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Patchwork
4 février 2007
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L'arrivée du char de combat, en Égypte et par la même du cheval date de la XVIIIe dynastie (Nouvel Empire). Les stratèges égyptiens ont incorporer ces "machines de guerre" à leur armées en observant et en copiant les armées syriennes ennemis.
Le char se compose d'une "caisse" transportant le ou les passagers (un conducteur et un archer), supporté par un essieu traversant le dessous du plancher de gauche à droite. Deux roues de bois cerclées, d'un diamètre relativement grand, sont traversées par 6 rayons se rejoignant au moyeu, et soutiennent le tout. Une rambarde court le long de l'habitacle, afin que les passagers se tiennent. De larges ouvertures peuvent y être pratiquées. Le timon, une longue pièce de bois reliant les chevaux au char, s'accroche au char à l'aide d'un triple support. Deux jougs passent à droite et à gauche du timon pour reposer sur les chevaux. La partie centrale est incurvée pour laisser passer les rênes attachées aux mords des chevaux.
Ci-dessus le superbe char en bois et or de Toutankhamon retrouvé dans sa tombe.
Le char était léger et fébrile : aucun moyen de suspension n'intervenant entre le char et les roues, on imagine bien la difficulté de manœuvrer l'engin lancé à vive allure, notamment sur des sols durs parsemés de roches et cailloux.
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Egypte
1 février 2007
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17:57
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Feutrine
1 février 2007
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Broderie